Wheatley - "Je ne suis pas idiot."

Wheatley appartient à Valve, Steam, et est utilisé dans un cadre non commercial.

Wheatley

Little Moron

Âge : Approximativement 35 ans de tête.
Sexe : Masculin
Race : Bio-Ordinateur serait une appellation correcte pour le cas de Wheatley. Mais le fait qu'on le nomme Cyborg ne le dérange pas.
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle - J'avoue, ça peut être compliqué.
Parti Pris : Scientifique
Métier : Agent de Callistos Spécialisation Entretien des Machines (Larbin à tout faire, en fait.)

• Physique •

Si il y a quelqu'un qui se fait souvent remarquer, c'est bel et bien Wheatley. Et il ne le fait jamais exprès. Il n'a pas choisi d'être un grand type, pour commencer. Wheatley a ce genre de carrure haute, longiligne et solide, qui donne envie de se réfugier à ses cotés. Pourtant, il n'a pas les muscles tellements développés ni un air de baroudeur. Comme si ses 1m93 et ses épaules larges lui conférait une sorte d'aura protectrice.
On pourrait reconnaître son visage entre milles ; Bien qu'il soit celui d'un humain lambda, ses traits sont bien propres à lui-même. Sa tête est plutôt longue, se terminant par une mâchoire carrée, mais pas si large, tandis que son grand nez se retrousse légèrement. Quelques rides du sourires sont apparues et ne le lâcheront pas. Sans ses lunettes, son regard bleu paraîtrait assez niais. Cette paire de verre lui est indispensable, tant pour atténuer son air candide que pour lui permettre de voir clair.
Wheatley est un blond paille. La tignasse du cyborg est un joyeux désordre, en arrière ou en avant, qui tombe légèrement dans son cou et se prolonge sur ses tempes en pattes. Néanmoins, il essaye de faire des efforts pour se coiffer de temps en temps, histoire d'avoir l'air intelligent et soigné. Ses sourcils, qu'il gigote en permanence, sont à l'image de ses cheveux, épais.
Dans ses parties cybernétiques, on peut voir son Datapad, ou son interface visuel qu'il porte comme un gant à son bras gauche. Un mini-écran additionné d'une bonne dose de petits boutons – Dont certains que Wheatley n'a jamais touché, lui donne accès à ses fonctions d'ordinateur. Cet appareil est relié à la machinerie centrale par un fin câble qu'il laisse parfois apparent. Sa jambe droite a été remplacé par un membre d'un alliage léger et solide.
Niveau fringues, Wheatley ne fait pas dans l’extravagance et ne change que très peu, de part parce que la mode n'est pas sa priorité. Globalement, les vêtements humains lui conviennent, simples, du moment que c'est confortable. Une chemise, un pantalon et des baskets de toile sont le minimum. Il ne quittera que très peu sa blouse blanche, qui lui donne cette allure de scientifique (Mais ne vous y fiez pas !).

Wheatley est un processeur sphérique, assez gros. Vous pouvez le tenir dans vos bras sans trop de difficultés, si l'on ne compte pas le poids. Même si la technologie a fait d'immenses progrès dans la miniaturisation, 20 kg, ce n'est pas un poids plume.
Son chassis métallique est assez solide et encaisse facilement les chocs. Deux larges poignées amovibles sont fixés à sa carcasse. Trois ouvertures circulaires, à gauche, à droite et derrière laisse apparaître ses circuits protégés par une fine grille.
Vous allez me demander comment il se déplace ? Un petit générateur d'anti-gravité le fait flotter en l'air. Il peut également s
Devant, son oeil bleu unique est mine de rien assez expressif. Deux paupières imitent des expressions, ainsi, on peut deviner un sourire, la tristesse, l'effroi...
Des marques des âges marquent son chassis, tels que des traces noires, des éraflures... Une petite étiquette est collée à droite de son oeil, et le logo de la Mission Aperture est visible en-dessous.

• Caractère •

Son programme de personnalité est très simple. Inutile de vous cacher la vérité : Wheatley est un abruti. Maladroit, il n'aura jamais de vraie bonne idée, ou alors leur logique dépassera le bon sens. Si il a réussi à survivre, c'est grâce aux idées des autres et à sa chance faramineuse. Il faut dire que son instinct de conservation lui sauve souvent la mise. Prudence ne signifie pas courage, mais plutôt couardise.
Son idiotie le rend assez naïf, il croira n'importe quoi facilement. Même les trucs les plus improbables, affirmez par exemple qu'il y a un tigre dans sa salle de bain, il le croira sur-le-champ avant de détaler comme un lapin. Oui, c'est vraiment un trouillard. Il sait que le monde est dangereux et que des dangers peuvent en deux-deux le réduire en un tas de ferraille.
Malgré sa profonde stupidité, Wheatley tente toujours de faire de son mieux. On ne peut pas trouver une once de méchanceté dans son programme. C'est un gentil, peut-être idiot, mais il voudra souvent aider les gens. Et de bon coeur, s'il-vous-plait ! Il évitera à tout prix de blesser les gens, moralement ou physiquement (Dans ce cas-là, si il vous blesse, c'était par légitime défense.), une personne triste étant un calvaire à voir pour lui.
C'est une oreille attentive qui ne demande rien en échange, et qui est souvent prêt à compatir. - Et pour les Free Hugs aussi – Honnête, il est incapable de mentir, ce qui ne l'empêche pas d'être bavard, dans le sens où il parle tout le temps. Il sait se tenir correctement même si détendu, il sautille d'un pied sur l'autre, fait de grands gestes, gigote et fait des allers-retours constamment : il est en somme très expressif.

• Capacités •

>> Statut d'Ordinateur <<
Wheatley est un ordinateur sur pattes. En bref, il possède une base de données de fichiers, de savoir -Inutile ou non-, auquel il peut accéder via l'interface de son Datapad. Cet appareil lui donne accès à ses fonctions typiques de machine, comme la gestion des fichiers, les fonctions de calcul... Il manque d'entrainement pour parvenir mentalement à ses capacités en forme androïde, alors que l'enveloppe sphérique possède un système allégé et lui donne accès sans soucis.
Machine qu'il est, il est capable de se brancher à l'aide de câbles déroulants sur un autre ordinateur pour interagir avec. Le contraire est également possible, des petits appareils peuvent être branchés sur Wheatley pour par exemple se recharger. (Notez que ça lui donnera un coup de barre.)
Bien sûr, ce statut comporte des risques. Si on peut lui installer des programmes, il peut également contracter des virus informatiques si son anti-virus et son pare-feu ne tiennent pas le choc.
Wheatley a parfois besoin de se recharger dans son Hub. Faute de quoi, ses capacités seront ralenties et lui sera extrêmement... Raplapla.

>> Transfert de Système <<
L'intégralité de l'intelligence de Wheatley peut être déplacée. Grâce à un dispositif très puissant, il peut sans problème passer de la forme androïde à la forme processeur et vice-versa.
Il peut effectuer le changement dans son Hub. Le transfert d'urgence est également possible, si il est fait par une autre personne, par le biais des câbles. Il faut alors brancher ensemble les deux enveloppes de Wheatley. Expérience douloureuse, je vous le déconseille.

>> Blue Highlight <<
Valable dans les deux formes - C'est simple, Wheatley possède des phares dans les yeux, qu'il peut allumer à souhait ! Lui pompe un peu de batterie, quand même.

• Histoire •
What I won't remember...
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Ici Cave Johnson !
Nous croyons en beaucoup de choses, et le progrès en fait parti. La Science résoudra beaucoup de nos problèmes, croyez moi ! Et c'est pour ça que Aperture Science travaille pour tous et dans tout les domaines !
Laissez moi vous parler du cerveau humain. Un organe puissant, sans limites. Moduler la conscience et le cortex lui-même afin d'en créer un neuf, qu'en dites-vous ? Messieurs, vous l'attendiez, Aperture Science l'a fait !
Nous avons testé sur des employés 'sélectionnés consentants' notre protocole. Rien ne se créé tout seul, nous avons besoin d'une base. Mon postulat est simple : si on peut stocker de la musique sur un disque compact, pourquoi pas la personnalité d'un individu ? Il suffit d'un trait qu'on nuance et qu'on plante dans un ordinateur ! Bon, on a des problèmes avec les processeurs à rage, ils sont un peu difficiles à contrôler, nos ingénieurs sont en train de plancher sur les traits multiples pour ne pas se retrouver avec des processeurs incapable de faire autre chose que gueuler. Ca ne devrait pas tarder ! Cave Johnson, terminé !

"Hey, Doug.."
Doug Rattman émergea de son sommeil. Il devina, encore assoupi, qu'il s'était endormi sur sa table de travail, dans son laboratoire. Un de ses collègues était venu le réveiller.
"Uh.. Quelle heure est-il ..?" Marmonna le scientifique en s'étirant.
"Assez tard, il me semble. Mais... Tu es sûr que ça va ? Tu t'endors de plus en plus souvent en plein milieu du boulot. "
Le regard de Rattman se déplaça vers une boîte transparente, débordant de ce qui 'semblait' être des cellules de peau. Il soupira longuement.
"Tu as vraiment besoin de repos, Doug."
"Je sais." Répondit-il en se levant, pataud.
Son ami observa l'expérimentation ratée. La multiplication des cellules pouvaient être ennuyeuse, certes, mais s'endormir en devenait pitoyable. Il attrapa doucement la boîte.
"Tu fais de la bio', maintenant ? Je pensais que ce n'était pas ton domaine."
"Si, mais devais juste surveiller ça, voir si ça se passait bien, et.. Oh, je ne sais plus. J'ai pas fais mon boulot."
"Tu vas mettre quoi dans ton rapport ?"
"Pas grand-chose, j'imagine."
Rattman sursauta au fracas du verre contre le sol. Il se retourna et vit son collègue embarrassé, des éclats et de la chair blanche plein les chaussures.
"Excuse moi, bredouilla Wheatley, elle a glissé et je l'ai..."
"C'est pas grave, y'avait rien à en tirer."

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Rattman, même en pause, gardait toujours son air fatigué. A vrai dire, il donnait constamment l'impression de tomber de sommeil. Ses collègues de la Station Aperture ne devait l'avoir connu uniquement comme ça.
Il mit la main à la poche de sa blouse, tira un flacon rempli de cachets bleus et en versa alors deux dans son café. Wheatley le regarda tristement boire son verre.
"Chaque fois que je te vois avaler un de ces trucs, j'ai l'impression que c'est moi qui est malade à ta place.
"Dis pas n'importe quoi."
Rattman n'éprouvait pas le besoin de s'en faire pour lui-même, mais il admettait qu'il fallait souvent qu'il surveille les autres. En particulier son meilleur ami, Wheatley. C'était semblait-il la seule personne un minimum fréquentable dans la Station Aperture. Cet immense centre de recherche en orbite, où fourmillaient les grands cerveaux de la Science. Dans tout ça, lui, le petit brun, l'alliéné sous traitement, et l'autre, le grand bêta blond. Ainsi passaient-ils leurs heures de pauses, près du distributeur de boissons synthétiques.
"C'est plutôt toi qui devrait t'inquiéter, continua Rattman.
Ouais... Je me suis encore fait passer un savon par la direction. Il paraîtrait que je n'abats pas mon quota de travail."
"Je trouve pas que tu te sois relâché, pourtant."
"Je travaille, je t'assure..."
"C'est une période, ça te passera."
Un temps passa, avant que la voix préenregistrée de Cave Johnson retentisse dans les couloirs de la Station.
*Fin de la pause – Retournez au travail. Terminé.*

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L'homme entendit la porte de son laboratoire s'ouvrir violemment. C'est en se retournant qu'il vit arriver Caroline, l'assistante du boss, furieuse. Qu'elle soit de bonne humeur ou non, Rattman préfèrait ne jamais avoir affaire à elle.
"Qu'est-ce que j'ai...
"Vous, là ! Tonna t-elle en le pointant, j'ai à vous parler !"
Rattman se leva en soupirant.
"Qu'y a t-il ?"
"Shattel vous avait confié du matériel organique que vous deviez contrôler ! Et le rapport que vous lui avez rendu est pratiquement vide !"
Le scientifique se frotta le visage, en se rappelant de cette affaire. Les cellules de peau qu'il avait foutu en l'air étaient passés aux derniers de ses soucis.
"Madame, soyez certaine que.."
"C'est mademoiselle ! Vous n'avez déjà pas très bonne réputation auprès de vos supérieurs , Rattman. Si vous continuez, vous risquez de devenir un poids pour la Station ! Comprenez-vous ?"
Rattman baissa les yeux. L'expérience lui avait appris qu'il ne valait mieux pas batailler contre Caroline. Il hocha la tête nerveusement.
"Oui. Je comprends."
"Bien." Dit-elle en se radoucissant.
Rattman la regarda en face. Des traces de fatigues marquaient ses traits. De fines cernes apparaissaient sous ses yeux. Une fois la colère retombée, il pouvait voir combien elle aussi était finalement accablée.
"Par ailleurs, sauriez-vous où se trouve votre ami Wheatley ? Relança t-elle, il a encore disparu sans prévenir !"
"Il n'est surement pas bien loin."
"Je dois lui parler lui aussi. Si vous le voyez, dites-lui que ses relevés ne jouent pas en sa faveur. Ce garçon est vraiment distrait, et croyez moi, ça n'est pas bon pour la Science."

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"Pourquoi il faut toujours qu'on ait de la nourriture synthétique ?" Geignit Wheatley.
"Parce qu'ils préfèrent garder du fric pour la Science."
La cantine de la Station n'était pas excellente, c'était vrai. La direction ne payait pas de grandes sommes pour l'alimentation de ses employés. De manière générale, le self n'était pas fait pour y traîner. On y prenait un encas sur le pouce d'un quart d'heure avant de retourner au travail.
"Eh, vous saviez que le boss était malade ?" Dit un de leur collègues assis à table.
"Comment tu le sais ?" Demanda alors Rattman.
"J'ai entendu Caroline parler avec le docteur Vance. Il parait qu'il a subi une intoxication aux vapeurs de roches lunaires."
"Et on nous mets en contact avec des produits comme ça tout les jours... Bravo la Science." Ajouta Wheatley qui remuait mollement de sa fourchette sa purée bleue.
"Johnson n'a jamais été à cheval sur les règles de sécurité. Y compris pour lui..."
"En attendant, il a relevé les effectifs pour l'étude de la cartographie du cerveau et de l'Intelligence Artificielle. Je sais pas trop ce qu'il mijote, mais ça ne présage rien de bon."
"Avec lui, il faut s'attendre à tout." Conclut Rattman, songeur.

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Wheatley aimait beaucoup Frank Sinatra. Les vieux disques compact de l'ère terrienne qu'il avait récupéré marchaient miraculeusement sur le petit lecteur digital de son bureau. Il passait ainsi les heures, bercé par les notes du piano et de la splendide voix de cet antique chanteur, en regardant sa souris blanche dans sa roue. Cette petite bête émanait d'une lueur dorée suite à une expérience de Wheatley. Et à vrai dire, ce n'était pas le résultat attendu. Mais cela importait peu au grand blond.
Lorsque que la compilation s'arrêta, et qu'il sortit de sa transe, il se leva doucement, les membres engourdis. Il jeta un autre regard à sa souris avant de se diriger vers le petit réfrigirateur d'appoint. Il prit une ration de nourriture synthétique avant de retourner au "travail". Ses notes de protocole trainaient sur sa table, dispersées dans un joyeux désordre. Wheatley n'était pas négligé, non, il avait juste une organisation un peu spéciale.
Il regarda les béchers qui décantaient, et pensa à ses travaux, qu'on pourrait qualifier d'inexistant. Déjà, ses payes commençaient à baisser. L'argent qu'il recevait d'Aperture, il envoyait tout à sa mère sur sa planète natale. Si il ne recevait plus rien, comment pourrait-elle vivre ? Elle était la seule raison qui le poussait à essayer de travailler et de donner des résultats. Elle était la dernière personne qui lui restait. Sa chère mère...
Il tendit le bras pour rallumer sa radio. Mais en le ramenant vers lui, il percuta les béchers du coude. Les pots de renversèrent et tombèrent au sol dans des dizaines d'éclats de verre. Wheatley bondit de sa chaise et chercha des yeux une éponge pour nettoyer, ou du moins prévenir toute réaction des produits qui se déjà se mêlaient. Il attrapa le premier torchon qui lui passait sous la main et le jeta sur les débris. Il entendit un sifflement et vit le tissu se désagréger...
La porte de son laboratoire s'ouvrit en un vent. Wheatley vit volte-face et se retrouva alors face à un homme.

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"Comment ça ?
"Intrégration à la section de la recherche sur l'IA ! C'est pas génial ?"
Rattman considéra son ami en haussant les sourcils.
"On te déplace de secteur ? Mais pourquoi ?"
"Je n'en ai pas la moindre idée, mais c'est fait !"
Le brun se gratta la tête. La direction avait apparemment trouvé un compromis au manque de travail de Wheatley en l'envoyant dans une autre section. Mais pourquoi dans la robotique alors que le grand blond n'y connaissait strictement rien ?
"Je préfère y aller avant la fin de la pause. Pour donner bonne impression, tu vois."
"Comme tu veux..."
Son ami avait déjà tourné le dos. Mais il adressa quand même un sourire à Rattman. Ce dernier le regarda lentement s'éloigner, jusqu'au fond du couloir. Il ne bougea pas, en le voyant disparaître derrière la porte automatique de métal.
Quelques minutes plus tard, Rattman était toujours à la même place.

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Le quantum est un concept que peuvent de gens peuvent comprendre. L'espace-temps est un tissu fin qu'on ne peut pas saisir. Dans le cas contraire, Rattman le saurait et il serait possible de diviser par zéro.
Justement, c'était le cas contraire. La division par zéro s'appliquait dans son travail sur l'influence sur continuum. Et si l'humain en était vraiment capable ? Pas seulement l'humain... Le vivant...
Il regarda le faisceau bleu en marche derrière la vitre blindée. Si ses yeux d'humain étaient moins faibles, il pourrait admirer le laser sans protections teintées. Quels secrets renfermait ce flux d'énergie ? Sur quels perspectives cette lame éthérale pouvait ouvrir une brèche ?

En résumé, Rattman travaillait beaucoup sans son traitement. Beaucoup de choses lui semblaient d'un coup, clair comme le vide sidéral.

Il était clair que quelque chose n'allait pas. Pourquoi là-bas ? De quelle façon ? Comment raisonnaient-ils ?

Où était Wheatley ?

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Il en était sûr. Quelque chose était arrivé à Wheatley. Il ne venait plus aux heures de pause, ni au self-service. Ses questions aux services de la recherche sur l'IA restaient sans réponses. Comme si son ami avait été radié de la réalité.
"Rattman, vous vous faites trop de soucis pour rien." Répondait Caroline.
"Je pense que si votre meilleur ami disparaissait sans laisser de traces, vous réagiriez de la même façon !"
"Calmez vous, bon sang ! C'était courant, de sa part, non ?"
"Mais pas pendant des jours entiers !"
L'assistante du directeur donna quelque coups de stylets sur sa tablette.
"Je note pour le Dr Vance de vous réexaminer. Un remaniement de votre traitement serait appréciable."
"Arrêtez cette comédie, Caroline ! Vous savez où se trouve Wheatley !"
"Je ne vois pas de quoi vous parlez."
Sur ce, elle tourna les talons et quitta le scientifique.
Elle venait de lui offrir la certitude que Wheatley était en danger.

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"ARRÊTEZ LE !"

Où était-il ? Où était-il ?
Où le retenait-il ?

"Vous n'êtes pas autorisé à..!"

Qu' importe. Il devait faire quelque chose.
Courir. Courir. Ne jamais s'arrêter. Pas avant de l'avoir trouvé.

"CHOPEZ-LE, MERDE !"

Une porte. La porte. Il le savait.
Il l'ouvrit. La défonca. Passa à coté. La traversa.
Une salle. Grande. Immense. Infinie.

"SÉCURITÉ !"

Il n'entendait rien. Sourd. Là.

Il était là.
Au centre. Des câbles. Du fer.
Mort. Vivant.

Rattman se traîna jusqu'au piédestal.
Il était là.
Petit. Insignifiant.
Plus de veines, rien que des câbles. Une peau de métal.

Un oeil unique.

Et les mots les plus atroces de l'univers.

"Hello ! Dit Wheatley joyeusement, je vous connais ?"

Mais c'est que tu nous faire une fiche de fou toi ! D;

J'ai bien hâte de voir la suite. :3

Je t'avais dis que depuis NF, j'ai pas mal appris. Wheatley - "Je ne suis pas idiot." 1173714633

Une heure pour le petit carré en haut... *Wheatley il est très fort.*

Oh, très belle fiche. :3
(Oh, toi c'est NF qui t'a appris les codes ? xD *zieute Equideow*)

Tu feras l'histoire ? :3

Ben oui, qu'est-ce-que tu crois ?² x)
Je ne vais pas vous priver d'une telle tragédie, sortez les mouchoirs ! D=

*prépare direct le maxi-pack de Kleenex pour des mouchages collectifs*

Bon, tragédie, en fait, je pense avoir un peu raté mon effet ! D:

Terminé, et je m'auto-valide pas, parce que je suis honnête. '-'

Et moi je te valide parce qu'il en est ainsi. 'Ley ;_;

La musique.

Elle me donne des frissons. .O. Rien que la musique donne envie de pleurer, sans lire l'histoire. xD Alors avec.. ~

Omg. Les dernières phrases étaient juste superbes. Par leur impact.

J'aime ton histoire.

Oui donc j'ai lu (comme hier j'avais pas le temps, pas taper. ee).

J'ai les yeux qui picotent.

Comme tu le sais, rien que la chanson m'a touchée. Le texte... Il est déjà merveilleusement bien écrit. Le dernier passage est...
Tout au long de ton histoire, on s'attache aux personnages, même si c'est court. Voir cette scène tragique, horrible, vraiment, inhumaine, à travers les yeux de cet homme, c'est... :')

(J'écouterais plus la chanson de la même façon, sortez moi les mouchoirs.)

*Fait un hug à Juju et Mikomi ;_;*